La problématique
La Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu a réalisé un plan de conservation. L’un des objectifs de ce plan est d’atteindre 10 % de superficie boisée sur son territoire.
La ville a prévu de reboiser plusieurs espaces, dont des bandes riveraines.
La solution
Dans cette optique, le COVABAR a été mandaté afin de végétaliser les bandes riveraines d’un tronçon du cours d’eau Marcil.
Le nombre de personnes sur le projet
1 chargée de projets et 3 employés de terrain
En résumé
La plantation a été réalisée en milieu urbain, dans un secteur résidentiel jouxtant des terres agricoles. Cette plantation comportant deux sections s’est déroulée dans le bassin versant de la rivière L’Acadie, le long d’un tronçon du cours d’eau Marcil. Ces terrains sont situés entre une terre agricole et un secteur résidentiel et sont contigus au parc Alphonsine-Ranger.
Les végétaux utilisés sont d’une grandeur d’environ 1 mètre. Tous les végétaux utilisés sont des espèces indigènes qui ont été choisies en fonction du milieu : sol argileux, pleine luminosité, etc.
Secteur 1 : bande riveraine rue Dumouchel
Cette bande riveraine est d’une longueur de 158 mètres et d’une largeur de 4 mètres entre les rues Doucet et du Biat et d’une longueur de 42 mètres par une largeur de 3 mètres entre la rue du Biat et la rue Deland.
Secteur 2 : parc Alphonsine-Ranger
Cette bande riveraine a été aménagée sur une friche urbaine, d’une longueur de 150 mètres et d’une largeur de 7 mètres, ce qui représente une surface de 1050 mètres carrés. Les arbres et les arbustes ont été plantés au nombre de 190, de façon aléatoire (non linéaire) et de façon à reproduire éventuellement un boisé naturel. Les arbres ont été plantés avec un dégagement suffisant, selon leur largeur à maturité, alors que les arbustes ont été regroupés en bosquets.
Au total
Près de 350m linéaire ont été réaménagés
Le projet a requis
380 arbres/arbustes